Paire de Colonnes Porte-Vase Bois Italie XIX Siècle
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Paire de Colonnes Porte-Vase Bois Italie XIX Siècle

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Paire de Colonnes Porte-Vase Bois Italie XIX Siècle

Caractéristiques

Style:  Chinoiseries (1600-1800)

Epoque:  XIX Siècle / 1801 - 1900

Origine:  Italie

Description

Paire de colonnes porte-vase en bois, entièrement laquées à la chinoiserie. De forme profilée, la base a une haute plinthe peinte avec des réserves à carreaux rouges et noirs. Sur les quatre montants, il y a de petits carreaux avec un profil animé, à l'intérieur décoré de motifs floraux de goût oriental. Sur les quatre faces principales il y a des réserves de plus grandes dimensions, les centrales sont peintes avec des scènes orientales: plantes exotiques avec des oiseaux colorés, des paysages avec des pagodes, habitées par des aristocrates et des chaises à porteurs portées par des serviteurs. Dans la partie supérieure, il y a un dessus façonné et noirci.

État du produit:
Produit en bon état présentant quelques signes d'usure.

Dimensions (cm):
Hauteur: 109,5
Diamètre: 35,5

Avec certificat d'authenticité

Certificat délivré par:  Enrico Sala, expert

Informations complémentaires

Note bibliographique historique

Les objets de chinoiserie et les motifs ornementaux se sont imposés dans toute l'Europe au XVIIIe siècle, mais ils se sont également largement répandus au cours du siècle suivant. Dans un moment culturel généralement caractérisé par une attention particulière à tout ce qui était exotique, le renouveau de l'art oriental est devenu un facteur récurrent. Ainsi se répandent des objets et des meubles aux formes ondulées et en forme, décorés reprenant la technique du laquage chinois, avec des motifs qui reproduisent des images et des scènes idéalisées et considérées comme représentatives de la culture orientale.

Style: Chinoiseries (1600-1800)

Le terme Chinoiserie (Chinoiserie) dérive du français et fait référence à une période de l'art européen, à partir du XVIIe siècle, dans laquelle il y avait une influence notable de l'art chinois, également à la suite de l'intérêt croissant que l'Europe avait développé pour tout ce qui était exotique, en général.

Cette période a été caractérisée par l'utilisation d'images imaginatives d'une Chine imaginaire, par une asymétrie des formats et des contrastes capricieux d'échelle et par des tentatives d'imitation de la porcelaine chinoise ainsi que par l'utilisation de matériaux similaires à la laque.

La chinoiserie est entrée dans le répertoire européen dans la seconde moitié du XVIIe siècle, lorsque les travaux d'Athanasius Kircher ont eu une grande influence sur l'étude de l'orientalisme.

La popularité des chinoiseries atteint son apogée au milieu du XVIIIe siècle, lorsqu'elles sont assimilées au rococo par les œuvres de François Boucher.

Ils déclinèrent ensuite lorsqu'ils apparurent, aux yeux des Européens, antithétiques du néoclassicisme.

Ils s'exprimaient entièrement dans les arts décoratifs tandis que leur expression en architecture se réalisait entièrement dans le domaine des « folies » capricieuses (constructions réalisées exclusivement à des fins décoratives, mais dont la forme suggère une autre destination).

En revanche, les transformations importantes que les modèles chinois ont effectuées au XVIIIe siècle sur le style des premiers meubles géorgiens et le style naturaliste de l'aménagement paysager des jardins anglais n'étaient pas considérées comme de la chinoiserie.

Apprenez-en davantage sur les influences orientales dans l’histoire des arts grâce à nos réflexions :

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Epoque: XIX Siècle / 1801 - 1900

XIX Siècle / 1801 - 1900

La disponibilité des produits

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